dimanche 3 octobre 2021

Zemmour-Trump contre Macron-Biden : l’élection volée, épisode 2

Eric Zemmour a laissé entendre que s’il devait être candidat, il ferait un remake français de Trump 2016. Une information qui n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd si l’on compare les manœuvres en cours autour de Macron avec celle des soutiens Démocrates de Biden. 

En 2016 Trump a utilisé les médias à contrepied en les faisant hurler à l’unisson contre lui, ce qui en plus de lui permettre de substantielles économies de frais publicitaires a rallié la population à sa cause sur le thème « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». Et Zemmour de jouer brillamment une adaptation de ce classique de la politique, les peuples, comme les journalistes ne pouvant rien apprendre, puisque par bonheur la génération montante ne peut pas télécharger les souvenirs des anciens. 

En 2020 les Démocrates, averti des talents du personnages ont décidé de voler l’élection, ce que Trump a dénoncé depuis le premier jour, sans que les élus Républicains américains ne s’en émeuvent avant qu’il ne soit trop tard. Peut-être faut-il lier cette torpeur non seulement aux menaces d’agression des démocrates, mais aussi dans un certain nombre de cas à la générosité des vendeurs de machines à tricher voter, comme par exemple pour le gouverneur de Géorgie. La poussière de l’élection retombée les tribunaux et les journaux à leur suite commence à reconnaître que oui, l’élection a été volée, mais tant pis, c’est trop tard

Un homme averti en vaut deux et qui veut faire du Trump doit s’assurer qu’il joue bien la pièce de 2016 et pas celle de 2020. Et quel que soit le candidat, il ferait bien de se poser quelques questions en comparant les mesures prises en 2020 au Etats-Unis et celles en cours de préparation en France. 

Personne n’a oublié que l’extension des modalités de vote par correspondance aux Etats-Unis a donné lieu à une augmentation vertigineuse du vote par correspondance et des accusations de fraudes associées, lesquelles ne sont toutefois que l’aspect visible d’une conspiration dont les auteurs se vantent publiquement maintenant qu’elle a réussi. 

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, on comprend mieux les récentes tentatives de faciliter la fraude électorale en France : tentative d’introduire le vote électronique en avance le 16 février au 2021 au Sénat, proposition de loi de vote par correspondance le 21 septembre 2021 et maintenant l'arnaque de la prolongation du passe sanitaire jusqu’après les élections présidentielles, complaisamment relayée par la presse du régime

Il est à cet égard instructif de lire l’étude de l’observatoire du vote français sur la fiabilité du vote électronique en France de 2007 à 2012 : 34,4 % de bureaux de vote électroniques en erreur contre 9,7 % des bureaux papier. Lors de élections de 2017, cet écart était de 4,5 à 5,5 pour 1. Et on parle ici de vote dans des bureaux physiques, pas d’un vote par internet… Sans doute est-ce la raison pour laquelle Gérald Darmanin était encore opposé au vote par correspondance en novembre 2020. Sa récente capitulation sur cette question serait-elle liée aux derniers sondages pour la présidentielle ? 

Les mêmes qui veulent l’étendre aujourd’hui ont hier supprimé le vote par Internet pour les français de l’étranger à cause … du risque d' « opérations hybrides » à moins que ce ne soit dans le cas d’espèce parce que ces français-là ne votaient pas comme il faut

Le pass de la honte - où le citoyen devient bétail - est à cet égard l’instrument le plus pernicieux puisqu’il permet d’écarter à n’importe quel moment une part importante de la population en changeant les règles, comme c’est le cas depuis le début de l'affaire "SARS-CoV-2" rebaptisé Covid19 par la propagande. Rappelons-nous qu'acheter des masques était interdit sous peine d'amendes en mars 2020, comme certains en ont fait les frais, puis que le même masque est devenu obligatoire y compris seul sur la plage, là aussi à coup d'amendes et de miliciens policiers, voire de prison.

La promesse qu’il ne sera pas étendu aux activités politiques, vote inclus, n’engage que ceux qui y croient. Et croire encore le gouvernement alors qu’il ment de façon systématique et constante relève au mieux de la complicité, au pire de la duplicité. 

Dès lors, un maire soucieux de la vérité des urnes ne peut pas se satisfaire du pass sanitaire, à moins de soutenir la volonté de frauder du pouvoir en place. Bien évidemment, comme garant des listes électorales et de la sincérité des scrutins, il n’autorisera pas la validation des votes par correspondance, encore moins par voie électronique, mais il fera diffuser le dépouillement des votes en direct sur internet. Qu’il ne soit pas dit que les votes des gens confiés à sa protection aient été volés.

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